CONTRE : « Aujourd’hui, ils cassent partout sans nous proposer de solutions de recasement, et cela n’est pas bien. Nous sommes des jeunes et cette situation, qui détruit plusieurs emplois nous a causé d’énormes préjudices. Les pas de porte des magasins vont jusqu’à six millions et cela est hors de portée pour les nombreux petits commerçants comme moi. Vous voyez, nous sommes encore là à squatter ce qui reste de notre espace de vente après le passage des bulldozers, car nous ne pouvons pas rester à la maison et tendre la main à d’autres personnes. Je viens avec un peu de marchandises, dans l’espoir de conserver encore mes clients en attendant d’avoir un autre local. »