Peut-on dire que tous les voyants sont au vert pour le tourisme ivoirien ?
Le tourisme rime avec la stabilité et depuis que c’est le cas, en 2011, le nôtre est en plein essor. Tous les chiffres l’attestent. Le nombre d’hôtels qui s’implantent à Abidjan, notamment depuis 2014, en est une parfaite illustration d’ailleurs.
Existe-t-il une politique nationale pour booster le tourisme local ?
Oui, bien sûr. C’est d’ailleurs pourquoi nous avons des festivals au niveau de chaque région. Vu que les hôtels de l’intérieur du pays n’enregistrent une affluence de clients que les weekends, nous apportons aux gérants une expertise en matière de tarifs pour les résidents en cours de semaine. Bien entendu, il faut pouvoir trouver de quoi animer les journées de ces derniers. La réflexion se poursuit.
En termes de sites touristiques, quelles sont les potentialités de la Côte d’Ivoire aujourd’hui ?
La Côte d’Ivoire a la chance d’avoir plusieurs atouts sur place. Nous avons à la fois le tourisme balnéaire, avec plus de 550 kilomètres de plage, l’éco-tourisme, avec tout ce que la pays possède en matière de parcs naturels et de réserves, un riche tourisme culturel, avec près de 60 ethnies, et même un tourisme sportif !