Que pouvons bous retenir de votre passage à la tête de la JFPI ?
Deux moments forts. Le premier est celui où nous avons été surpris par une attaque de rebelles en 2002. Il nous fallait organiser la résistance. C’était également celui de l’engagement patriotique Ce que nous avons fait jusqu’en 2010. Le second moment fort, c’est celui après la crise nationale qui a consacrée la crise au sien du FPI. Ce second moment a ouvert la porte au recrutement à et à l’encadrement de nouveaux militants.
Quelle image souhaitez-vous de la JFPI après ce congrès ?
Je souhaite une jeunesse du FPI mieux cultivée et avec une bonne formation politique. Il faudra au FPI une jeunesse qui comprend les enjeux du monde actuel et qui est capable de relever les défis de nouveaux recrutements afin de propulser le FPI.
Que pensez-vous des candidats ?
La campagne a été difficile pour les différents candidats au vu des moyens insuffisants qu’ils ont. L’un d’entre eux a pu néanmoins visiter un grand nombre de section et qui a pu se faire connaitre. Il part avec un avantage certains car les délégations votent généralement ceux qu’ils connaissent. Je souhaite bonne chance à chacun d’entre eux.