Pourquoi mettez-vous un accent particulier sur l’agriculture ?
Il y a des pays qui réussissent bien dans le business agricole. Cela est très peu développé ici et nous espérons pouvoir présenter les opportunités qu’offre le monde agricole aux jeunes ivoiriens. La Côte d’Ivoire étant un pays fortement agricole, nous voulons montrer aux jeunes que celle-ci n’est pas que les travaux champêtres qu’ils connaissent. Elle renferme plusieurs business.
Avez-vous pensez à une politique de suivi de ces assises ?
Il s’agit de faire en sorte de relancer les activités de l’Agence emploi jeunes (AEJ). Des partenariats existent, il y a des résultats probants, mais il faut faire davantage. Les promesses d’embauches seront désormais suivies et il sera un devoir pour nous de communiquer sur ces exemples.
Combien de jeunes sont-ils inscrits sur la plateforme de l’AEJ ?
Il y a plus de 200 000 jeunes inscrits sur la plateforme de l’Agence emploi jeune et ce chiffre est deçà des attentes. Une dynamique a été mise en place et celle-ci devra permettre de capter un maximum de personnes pour leur inscription sur cette plateforme. Il s’agit de faire en sorte qu’un plus grand nombre de jeunes puissent avoir un numéro matricule grâce à l’AEJ, afin de bénéficier des services qu’offre cette plateforme.