En dépit des actions engagées, de nombreux enfants sont encore impliqués dans les pires formes de travail des enfants en Côte d’Ivoire pays et dans la sous-région ouest Africaine. Selon la première Dame de Cote d’Ivoire, une étude récente fait état d’environ 4000 enfants encore victimes de la traite transfrontalière en Côte d’Ivoire. « Une situation préoccupante qui interpelle tous les acteurs et qui nécessite des actions encore plus vigoureuses » a dit la première Dominique Ouattara ce mardi 13 septembre indiquant à l’occasion de la signature d’une déclaration conjointe d’engagement entre les Premières dames du Ghana et de la Côte d’Ivoire en matière de lutte contre la traite transfrontalière et les pires formes de travail des enfants.
Une signature de déclaration d’engagement témoignant de la volonté de ses deux premières Dames à s’impliquer davantage sur la question. Pour la ghanéenne, Dramani Nana Lordina pratique ’’répugnante’’ pour son pays le Ghana et son voisin la Côte d’Ivoire, selon un rapport des Nations Unies génère plus de 32 milliards de dollars en Afrique où plus de 30 millions de personnes en sont encore victimes.
Ouakaltio Ouattara