Avec l’avènement des réseaux sociaux, la presse écrite semble de plus en plus perdre ses valeurs. Force est de constater qu’aujourd’hui des personnes sur la toile s’adonne à divulguer des informations sans toutefois être des professionnelles de l’information. Réunis à l’initiative de l’Ambassade des Etats-Unis, experts, journalistes, blogueurs ont échangé sur la problématique le 07 Mai au sein de l’Université Félix Houphouët Boigny à l’espace Américain.
Marquant la journée mondiale de la liberté de la presse célébrée le 03 Mai, l’objectif de ces échanges était de susciter des débats contradictoires autour des questions liées à la démocratie.
« on est arrivé dans un environnement ou la gestion de l’information n’est plus la chasse bien gardé des journalistes, on est désormais partagé entre les utilisateurs lambda parce qu’ils utilisent les réseaux sociaux, ont la possibilité de divulguer leurs information, du coup on se retrouve à un carrefour ou les professionnelles des informations se retrouve confronter a de simple citoyens qui diffusent l’information et c’est évidemment cela qui fait la distinction entre les médias sociaux, les médias numériques, les médias en ligne s’intéressent beaucoup plus au métier de journaliste » explique Yoroba Guébo, un paneliste.
Sidonie Amoakon, une autre paneliste a indiqué que « la liberté à sa place, mais il faudrait protéger la population, toute fois l’information doit être vérifiée » a-t-elle ajouté.
Ange-Stéphanie DJANGONE