Des équipements informatiques d’une valeur d’environ 60 millions de FCFA, composés de 13 ordinateurs de bureau, 13 imprimantes couleur, 18 ordinateurs portables, deux appareils photo numérique et une caméra, offerts par le Contrat de Désendettement et de Développement (C2D), ont été réceptionnés par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Adama Diawara, le mardi 17 juillet 2023 à Abidjan-Plateau.
Lors de la remise de ce don destiné, entre autres, au cabinet, aux directions générales et centrales, le ministre Adama Diawara a dit sa joie et sa gratitude pour l’acquisition de ces équipements informatiques qui s’inscrit dans une logique de renforcement du développement du numérique éducatif en Côte d’Ivoire.
« L’essentiel est là, les équipements informatiques tant attendus sont enfin mis à notre disposition. Je voudrais, par ce petit mot, remercier toutes celles et ceux qui ont participé à ce que cette activité soit enfin réalisée. Je pense, en particulier, à l’Agence française de Développement (AFD) qui, en donnant son avis de non-objection, a bien pris la mesure de la pertinence de ce besoin exprimé », s’est félicité Adama Diawara.
Pour le ministre, « disposer des équipements informatiques de dernière génération est un atout pour améliorer la performance de notre sous-secteur ».
« Les TIC font partie intégrante de notre vie professionnelle et personnelle. Je voudrais dire à quel point j’apprécie à sa juste valeur cette activité du C2D qui nous permet de disposer, ce jour, des équipements informatiques », a-t-il dit. Non, sans exhorter « tous les bénéficiaires du cabinet, les directions générales et centrales à en faire un bon usage ».
Selon le coordonnateur adjoint du Secrétariat technique du C2D, Didier Kouakou, en termes de bilan des actions du C2D, ce sont plus de 331 milliards de FCFA qui ont été dépensés dans le secteur Education/Formation/emploi en Côte d’Ivoire.
Pour rappel, le C2D est un mécanisme consistant pour l’État ivoirien à rembourser des dettes contractées auprès de la France en finançant des projets convenus d’un commun accord par les deux États. L’AFD se charge, pour le compte de l’État français, de mettre en œuvre et d’assurer le suivi technique du C2D.