La santé reproductive en Côte d’Ivoire est régie par une loi de 1920, et s’avère donc inadaptée aux réalités actuelles et aux besoins des populations en matière de santé sexuelle et reproductive (SSR). Des représentants de la Coalition des organisations de la société civile ivoirienne pour l’accès aux soins de santé (Coscias) et du Réseau des champions de plaidoyer pour le financement adéquat de la santé (RCPFASCI) ont plaidé le 12 juillet auprès de la commission des affaires socioculturelles de l’Assemblée nationale, en vue de l’adoption d’une nouvelle loi. En attendant le texte définitif, les députés ont donné leur accord de principe.